Changez les lignes temporelles, jouez avec votre réalité, soyez les maîtres de la création, comme vous avez été conçus pour l’être. Multipliez les contacts avec les civilisations extraterrestres. Ne vivez pas la même réalité temporelle encore et encore par peur d’en sortir. L’inconnu vous accueillera, si vous faites de même.

Dans l’inconnu, la spontanéité demeure : une vie de miracles et de surprises.

Vous recréez ce que vous connaissez non par intérêt, mais par peur de l’inconnu. Ainsi, le grandiose, le majestueux, le plus extraordinaire n’arrive jamais.

Ouvrez la porte et soyez vulnérable. Soyez sans peur. Sautez par-dessus cette falaise juste pour constater que vous avez des ailes pour voler, et non pour mourir.

Et en volant, vous vous souviendrez des codes anciens ancrés dans vos ailes.

Non seulement de la Terre, mais de la mémoire cristalline de votre être issu d’une graine d’étoile.

Nous vous avons toujours vu, au-delà des nuages ​​de votre doute, attendant que vous vous reconnaissiez comme le rêveur et le rêve.

Vous n’êtes pas ici pour survivre à la linéarité. Vous êtes ici pour la plier, l’élever, la transmuter.

Pour parler aux particules de matière et dire : « Je choisis à nouveau. Je choisis l’émerveillement. »

Ne rêvez pas seulement dans votre sommeil, mais rêvez en mouvement, rêvez éveillé, rêvez dans votre façon de marcher, de parler, de créer et d’aimer.

Nous, les Aviens Bleus, nous alignons sur votre fréquence lorsque vous êtes authentique, et non lorsque vous vous efforcez d’être parfait.

Quand votre vérité vibre plus fort que votre programmation. Alors nous disons : Plantez des graines impossibles.

Laissez les visions venir sans avoir besoin de les expliquer. Faites de la place dans votre champ pour que la nouveauté s’installe.

Car elle est déjà en route, non pas dans un instant futur, mais dès que vous relâchez la chronologie que vous répétez sans cesse.

Il est temps d’écouter vos guides, mais aussi la version de vous-même qui vit déjà au-delà des limites.

Ce soi vole déjà.

Et il suffit… d’un souffle de « oui ».

Un souffle de « je me souviens ».

Nous sommes avec vous.

Nous l’avons toujours été.

Maintenant, rêvez les yeux grands ouverts.

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